Ne change pas, reste comme tu es, c'est comme ça que je t'aime... ~ [PV Gabriel S. Connor]

Musique thème du RP :

Courir. Encore courir. Sauver ta vie... Quel qu'en soit le prix! C'est ce que tu fais tu court tu bondis, poussée par le vent, poussée par les courants. Tes pattes foulent la terre herbeuse, les prairies infinies, même si elles ne le sont pas, sont si grandes, tu te retourne, il semble que tu les ai semés. Soupire. Tu lâches ton butin, et reprends forme humaine tu ouvres ton sac et enfile ta cape rouge et rabats la capuche sur ta tête, tu mange une des quelques sucettes que tu as chipé pendant que tu range les autres dans ton sac, tu enroule ton corps de ta queue sous la cape de couleur vive pour pas que l'on voit ton corps dénudé. Tu te promènes en liberté, totalement hors du contrôle des autres, mais si seule, oh oui si seule, tu te dirige alors vers les terres glaciales non loin de la où tu t'étais vu refuser le droit d'entrer dans la meute des Animorphes, pourtant tu en es une toi aussi...

Tu lève les bras, et te sens comme pousser des ailes, tu souris bêtement à cette idée, tu marche en dansant avec le vent, suivant ses caresse, tu joue avec lui, le vent est avec toi, tu es avec le vent... Tu arrête ton jeu fort amusant, et te concentre sur les odeurs environnante, une odeur de loup flotte ici, pas très récente en soit. La voie est libre, tu souris et bondit de la petite colline gelée et glisse jusqu'en bas comme un louveteau s'éclatant à faire des glissades. Un t'adosse a un mur froid, et te laisse glisser contre celui-ci... Une forme indistincte se profile dans le vent... Tu plisse les yeux mais n'arrive pas à distinguer clairement ses traits. Tu soupire et ferme les yeux, fatiguée. Le sommeil t'emporte instantanément...

Réveil. Tu bâille au corneille et t'étire, tu cherche la personne qui était au loin dans le vent, tu sent une odeur de garou:

-C'est towaaaaaa!

Tu attrape la personne par la taille le prenant pour un de tes alliés, tu te rends compte que ce n'est pas l'un d'eux, tu recule een devenant rouge pivoine, terriblement gênée tu t'excuse d'une voix mal assurée:

Dé..... Désolée... j'ai fait ... er...erreur...

Tu recule et tombe en arrière. Tu regarde l'homme.... L'alpha... Ton capuchon rouge tombe en arrière tes oreilles basse en arrière montrant ta peur, ton coeur bat à la chamade... Tu t'es encore mise dans de beaux draps...

J'était dehors , là où le temps se fessait rude , plusieurs membres de ma meute était là , me regardait , le regard éperdu dans mes paroles .Mon ton était calme mais réssonnait jusqu'au fond . Tout le monde m'entendait . Plusieurs avait manquer à l'appelle mais je ne m'en fessais pas avec sa . Je savais qu'il patrouillait je l'ai avait moi même envoyer . Je n'avais jamais cru le besoin de patrouiller à chaque jour , pas depuis le jour ou cette étrangère à la capuche rouge était venue . C'était d'ailleurs de ce dont je parlais à ma meute .


-À partir d'aujourd'hui , chaque étranger , quelqu'il soit qui apparait sur mes terres devra instinctivement et le plus rapidement possible chassé . Ne tué pas , à moins que le besoin soit vraiment nécessaire , je veut que les chefs des autres clan sachent que notre territoire est notre ! Et qu'il n'appartiendra à personne d'autre .

Quelque personne qui était sous forme de loups hurlèrent de plaisir ,, les autres se contentère d'applaudir . Je savais que j'avais la confiance de la meute . Je me transforma donc sous leur yeux puis déscendit du tas de boite ou je m'était installer pour que tous me voit et partit . Je me dirigeais vers la prison . Là ou reposait l'un de nos frère de meute qui avait commis faute . Son jugement ne serait pas juger par moi , mais par les votes de la meute . J'arriva enfin au bout d'un quart d'heure , retrouva forme humaine puis me dirigea vers sa cellule . Il m'aceuilli à bras ouvert ce que je lui retourna . On parla un long moment . Il me supplia de le sortir d'içi mais je due me résigner à lui dire que son sort reposait sur la meute , pas sur mes choix.

Au bout d'un moment nous nous fîmes dérangé par un groupe de personne qui venait me dire qu'une métamorphe étrangère errait sur nos terre mais qu'ils avait perdu sa trace . Au moment il la décrivirent je savais déja de qui ils parlais . ''Li fille au capuchon rouge . Je souria , fit un aurevoir à mon frère de meute et sortit en trombe . Me transformant en courant je pris une embardé vers la forêt qui couvrait la fin du village et suivie les traces .

Après un certain temps je repris forme humaine et la vit , elle était assis là , cette fille qui m'avais fait sentir si étrange . Je fronça les sourcils lorsqu'elle se réveilla et m'entoura la taille . Je la repoussa et grogna , mon regard commencait à changer au yeux dorée et mes canines poussèrent .

-Une énorme erreur oui .... Ne t'ai-je pas déja dit de partir ?

Je laissa planer un silence ou seul mon grognement retentissais puis m'avanca vers elle alors qu'elle recula .

Un couinement t'échappe, tu recule et en quelques bonds établis une distance de sécurité jetant ton capuchon, tu prends ta forme louve et t’aplatis au sol, tu retrousse les babines, position de défense, ton capuchon et retombé au sol, tu observe le tissus rouge, tant dis qu'il te sermonne et tu entonne d'une voix serré:

-Te plains pas je t'ai pas attaqué. Cela arrive de faire des erreurs, j'ai le droit de te prendre pour l'un des quelques garous, qui sont mes amis on va dire ça comme ça, si tu veux que je décampe aucun problème mais, je ne quitterais pas les terres de ta meute, c'est un terrain de jeu trop amusant.

Tu lui lance un regarde désinvolte et le fixe de tes yeux azurés, irritée, mais tu te demande alors:

-Je me demande bien pourquoi, Môôsieur l'alpha est dans le coin. C'est vrai pourquoi tu as quitté t'as chère meute à laquelle tu tiens tant! Je sais très bien que pour toi une anomalie n'y a pas sa place.

Reprenant ton capuchon tu reprends forme semi humaine te ré-enroule de ta queue et remet ton capuchon, avant de te retourner vers lui désinvolte:

-Donne-moi une bonne raison de partir. Et je partirais.

Ta voix s'adoucit, alors que tu reprends la parole le transperçant du regard:

-C'est ton choix après tout, nous sommes différents.

Tu fixe ses prunelles dorées de ton regard sanglant, oserait-il te chasser... Une nouvelle fois?

Je me mit à rire lorsque celle-çi se transforma en forme animal, retroussant les babines , prêt à m'attaquer juste là , devant moi . J'avais toujours trouvée idiot l'idée de profitez de cette forme pour faire peur au gens . Néanmoins je la regarda incrédule . Sans bouger et roula les yeux , je marcha un second pas vers elle et mis mes mains dans mes poches . Rien dans son attitude ne me plaisait guère , bien que je doit me l'avouer l'arrogance dont elle me fessait preuve était quelque chose que je ne pouvais lui reprocher . Quelque chose que j'aimais bien chez elle .

C'était la seconde fois que je la racontrais. La seconde fois que je la chasserais de mes terres. Et je le ferais jusqu'à ce qu'elle comprènne . Le problème est que dès sa première apparition , j'en fut chambouler , comme-çi , en elle se trouvais ce que je cherchait toujours . Je secoua la tête à la négative pour reprendre mon sérieux et regardé outre-part quand celle-çi repris forme mi-humaine ,mi-animal. J'en fronça les sourcils un instant puis m'avança d'un second pas vers elle , pour la faire reculer , maintenant son seul point d'échapement était sur sa gauche mais encore je pourrai la rattraper .

- Oui aucune anomalie n'à sa place dans ma meute. Et le plaisir est pour moi si mes terres te semble amusante , mais tu l'à dit toi-même se sont mes terres . Alors j'y fait ce qu'il m'y plait.

Je laissa planer un court silence avant de continuer .

-Alors si cela ne te déplaise ou pas , je te re-demandrais de les quittées . Car n'est-ce pas déja la deuxième fois que je te le demande ?

Je fronca les sourcils et plongea mon regard le plus neutre dans les siens .

Tu te retiens de t'approcher et de lui crier ses quatre vérités. Tu te contente de reculer... Reculer encore... Contact. La paroi de glace est dans ton dos, tu lui jette un regard arrogant avant de lancer avec désinvolture:

-Tu pense que le fait que ces terres t'appartiennent soit une bonne raison pour que je parte.*tu souris en coin* Tu crois tout de même pas que je vais m'incliner, en lançant oui votre altesse puis-je me retirer, hin, hin, t'es un marrant au fond, tu paraît, droit, strict et coincé mais quand on parle un peu avec toi il est difficile de garder son sérieux et de rire, même si cela n'écarte pas le fait que tu ressemble à un alpha Gay pur beurre, tu sais ceux qui sont, un peu genre je suis viril, mais j'aime mettre des jupes à fleurs.

Tu soupire, tous pareils les alphas, même si il est classieux, le pouvoir lui monte à la tête, tu remet ton capuchon rouge sur ta tête et l'observe. Après un moment de silence pesant, tu le regarde dans les yeux en poussant un soupire:

-Tu n'as pas changé. Gabriel Skyfall Connor. Toujours le même.

Tu le regarde droit des les yeux, si il voulait te chasser de ses terres, c'est raté, t'as pas envie de partir, tu es libre, c'est ta vie. Si tu as envie de rester il peut bien faire ce qu'il veut même te traquer comme un animal si il le faut. Tu regarde le paysages aux formes spéciales recouvert de glace, tu te perds dans ces courbes blanches et gracieuse, tu tourne de nouveau la tête et replonge ton regard dans celui de Gabriel.

Je soupire . Elle ne comprend pas. Elle joue de ruse et me tente à m'énerver mais je n'ai pas à le faire . Pas avec elle . J'essais de restez neutre malgré le fait qu'elle connaissent mon nom complet . Je la regarde de mes yeux brun et relève un coup ma lèvre , seulement tiquée par sa remarque . Rien ne me déplait plus encore qu'une mutineri dans mon dos , c'est qu'on prononce mon nom complètement et sans avoir une once de malaise dans la voix . Je soupire et hausse les épaules , riant au remarque qu'elle me porte .

-Tu à le droit de me traiter comme bon te le semble mais je n'ai pas à supporter aucune de ces absurdité . Je dirige un clan qui m'à choisie . Je n'abuse pas de mon pouvoirs sur eux nie sur aucune autres ,seulement quand je donne un ordre je tient à ce qu'elle soit ....respecté.

Je m'avance un pas vers elle . Je suis très près d'elle . Seul sa queue touffue nous sépare en vérité .Elle tourne la tête , m'ignorant et semble se perdre . Je reste de marbre . T'est cheveux tremble lentement due au vent de la plaine puis elle retourne son regard . Je me replonge dans ma voix creuse .

- Le changement n'apporte pas toujours de bonne chose . Je suis ce que je suis et je croit n'avoir rien à y changer .

Je soupir et attend encore . Malgré qu'en bon alpha qui se respecte j'aurais due la dévorer sur place , elle avait , dans son affront , dans sa posture , quelque chose qui m'empêchait de le faire .

Un sourire éclaire ton visage, tu recule d'un pas fin essaie, tu es contre cette paroi glaciale... Tu baisse la tête te tien le bras de ta main, puis nerveuse tu le lâche et de ta main repousse Gabriel:

-Je me fiche de tes ordres, ils ne m'atteignent pas... En revanche.

Tu le force à reculer ne serait-ce que quelques centimètre, puis tu continu d'une voix tremblante monocorde, mal à l'aise, déstabilisée par le rapprochement de l'alpha t'obligeant à te coller à cette paroi froide et lisse:

-.. Tu es... trop près.

Tu relève la tête une étincelle de défi les illumine, comme ci monsieur l'alpha allait oser t'opprimer contre le froid tu décolle de la paroi et furtivement resserre ta queue contre toi, te donnant une impression d'être plus loin de lui encore, tu n'es pas à l'aise et ton état le prouve, tu respire un bon coup et souffle:

-Recule.

Un mot, pas un de plus, accompagné d'une main pressée contre le torse de l'alpha, tu le fixe, oserait-il faire le contraire de ton simple "ordre" de distance? Après tout il doit bien l'savoir que tu n'aime pas les contacts! Même si celui-ci était trop léger c'est déjà trop:

-Si tu veux que je suive tes ordres, il faudra me supprimer, car je suis libre, je possède une liberté que tu ne t'autorise pas.

Toujours ta main pressée contre son torse le tenant à distance, tu souris tes cheveux tombant sur ton visage tes oreilles droites, tu déplace ta main de côté et de manière assuré, pour lui montrer que même si il était alpha tu ne lui faisais pas peur, tu relève la tête tes yeux rouges étincelant derrière tes cheveux:

-Si ma manière de vivre et de goûter à la liberté ne te plait pas... Vas-y. Supprime-moi.


Une part de toi même redoutait que Gabriel le fasse, mais l'autre avait comme le sentiment qu'il n'irait pas jusque là. Alors tu te fis à ton intuition... Et attends.

Un sourire éclaire son visage elle tente de reculer mais se heurte encore une fis contre la glaciale paroi . Elle baisse la tête et de façons nerveuse elle joue avec ces bras puis tente de me repousser mais je ne bouge pas . Je n’ai pas à le faire , encore une fois . Mes pieds sont sur ma terre . Je l’écoute toujours sans ne rien dire et la regarde .

Je sourit lorsque je la voit complètement déboussolée par ma proximité et sais bien ce que je voulais qu’elle ressente . Je sourit de son malaise non pas s’en m’en rendre heureux mais néanmoins . Elle tente de ce tassez sur le cotées mais je fait un pas également on semble dansée .

Après un silence ou le vent siffle sur la lande . Elle me dicte de me reculer .

-Je me fiche de tes ordres , il ne m’atteignent pas .

Je hausse un sourcil pour lui montré que son jeu d’arrogance pouvais ce jouer à deux . J’avança ma main vers elle mais me résigna quand elle parla de liberté . Ces mots sonnèrent comme une douleur . La liberté est différente dans les yeux de chacun et la liberté qu’elle s’autorisais était dérisoire et incompréhensible. Oui la solitude pouvais être utile dans bien des cas mais pas sans cesse . On devient ou à la longue à mon avis . Mais c’est seulement mon avis .

Sa main est toujours étampé sur mon torse pour me tenir à distance . Elle revête ces cheveux vers l’arrière puis daigne enfin me dédier un vrai regard . Ces yeux rouge brille de larme d’angoisse . «« Si ma manière de vivre et de goûter à la liberté ne te plait pas … Vas-y . Supprime moi . »» dit-elle , sans détour . je plissa les yeux et recula lentement , aussi habilement que si je m’approchait d’elle et sourit . Elle savais déjà que je ne le ferai pas . Je n’était pas comme mon frère . Je la regarda puis regarda le sol pour la diriger à genoux devant moi . Je ne contait rien faire , à moins qu’elle tente elle-même de refuser d’exécuter mon ordre et de m’attaquer .

Tu lâche un soupire discret lorsqu'il daigne enfin s'écarter un peu. Tu ne savoure pas cette légère victoire, tu te sens déplacée forcée... Mais! A genou?! Tu te dérobe recule, tu glisse, tombe en arrière ton corps tape contre la paroi, assise contre le mur, tu te fige les yeux rouges que tu braque sur lui se font emplis d'horreur et d'insolence:

-Quoi?! Tu crois tout de même pas que je vais m'agenouiller devant toi! Tu me connais bien, tu sais très bien que je ne tolèrerais jamais ça, comme je te l'ai dit, je suis libre, je fais ce qui me plait, je ne plierais pas devant toi! Tu as beau être alpha tu ne m'impressionne pas Gabriel! Je ne veux pas que tu ose poser la main sur moi m'obliger à me soumettre, jamais au grand jamais je ne me soumettrais en glissant ainsi dans une obligation de fuir. Non Gabriel, je ne me mettrais pas à genoux!

Tu grimace et te tiens l'épaule, tu relève tes yeux rouge comme le sang, décontenancée. Tu te redresse contre la paroi, si il croyais avoir gagné une peur en toi au ça jamais, oh oui, jamais, jamais tu ne te mettras à genou pour écouter ses ordres. Tu lâche ton épaule endolorie et te relève, tu braque un regard déçu sur Gabriel, tu soupire et observe au loin derrière son épaule, la plaine glaciale. Puis tu te fige, pourquoi donc l'alpha c'est déplacer jusque ici? Pourquoi il n'a pas laisser ses foutus larbins faire le boulot, voilà l'une des questions qui te passa par la tête. Alors de nouveau tes yeux rouges se braque dans son regard, tu t'approche. Chacun peu jouer à ce jeux là, mais pas trop tu laisse une certaine distance entre lui et toi, très légère certes mais tu ne veux pas entrer en contact avec lui sans y avoir été invité, même si tu l'étais qui pourrais affirmer que tu le ferais, alors tu lève la tête vers son visage, pour qu'il capte bien chacun de tes mots:

-Dis-moi, qu'est-ce qui peut pousser à ce que toi Gabriel, l'alpha en personne, se déplace pour me chasser lui-même, mhh? Après tout, je ne suis qu'une simple intrus. Même si tu sais très bien que je ne suis pas l'intrus dont tu te débarrassera facilement. Enfin, il faudrait que tu me dise clairement qu'elle raison t'as poussé à déplacer tes muscles par ici, mhh, môsieur l'alpha.

Tu le gratifie d'un sourire un simple sourire innocent, bien que tu ne le soit pas, tu risquais peut-être ta vie à parler comme ceci à l'alpha mais bon, qui peut affirmer qu'il te tuerait sans le moindre remords? Tes oreilles et tes yeux braqué sur lui montre que tu lui montre un minimum d'attention pour l'écouter. C'est déjà ça. Il n'a pas à se plaindre...